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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.
Couché dans mon lit cette nuit, je ne pensais qu’à cette baise que j’avais eu avec ma belle-mère Christine dans le parking à camion. Etre observé par un parfait inconnu était une expérience formidable.
Christine était couchée dans la chambre voisine avec son idiot de mari Alain. Je me demandais si elle avait les mêmes pensées que moi et si elle mouillait en pensant à son aventure. De toute façon, je savais que Christine était ma pute et que je pourrai explorer mes fantasmes les plus fous avec elle.
Les deux prochains jours, je n’eus pas l’occasion de passer du temps seul avec Christine. Elle travaillait et moi aussi, et son mari lui restait à la maison tournant en rond. J’eus l’idée d’un petit plan pour qu’Alain ne soit pas ce vendredi soir et la journée du samedi. J’avais un ami qui dirigeait une entreprise de livraison et je savais qu’il avait toujours besoin de chauffeur le week-end. Je le dit à Alain qui voulait gagner un peu plus d’argent pour se saouler et donc il me demanda de voir ce que je pouvais faire. J’appelai Roger pour savoir s’il aurait une livraison assez loin ce vendredi soir.
– J’ai une livraison de nuit pour Lille. Il faut décharger le samedi matin puis aller à Epinal pour aller chercher une cargaison et la ramener. C’est payé 200 euros.
– Ouais c’est d’accord, à quelle heure veux-tu qu’il soit au dépôt?
– Qu’il soit là à 19h00.
Je raccrochai, content de pouvoir éloigner le mari de ma belle-mère ce soir et samedi. J’allai voir Alain pour lui dire. Il fut content surtout lorsque je lui dis qu’il serait de 200 euros plus riche.
De retour dans ma chambre, j’appelai mon très bon ami Martin. Je le connaissais depuis longtemps mais il avait déménagé assez loin il y a quelques années. En étant loin il y aurait moins de chance qu’il rencontre des gens d’ici et qu’il mette ma relation avec Christine en danger. Il répondit à la troisième sonnerie et demanda d’un ton jovial :
– Hey mon ami! Que se passe-t-il?
– Ça fait longtemps qu’on ne s’est vu. Je me demandais si tu voudrais passer une soirée avec moi comme nous faisions dans le temps. Tu pourrais rester jusqu’à demain soir.
– Ben oui pourquoi pas! Nous allons nous amuser! Je finis mon travail et je passe chez toi. Mais je n’y serai pas avant 20 heures je pense.
Avant de raccrocher, je dis :
– D’accord, je vais réserver un taxi pour qu’il nous emmène en ville vers 22h00.
Alain se préparait à partir et quand Christine lui demanda où il allait, il répondit comme d’habitude que ce n’était pas ses affaires et qu’elle s’occupe d’elle-même. Je souris car elle allait être occupée. J’avais un petit boulot pour elle plus tard.
Christine et moi étions assis devant la télé pendant que j’attendais Martin. Elle s’était changée en rentrant du travail, enfilant un jogging et un débardeur qui moulait ses gros seins. Je l’ai laissé tranquille après le départ de son mari car je savais que nous avions toute la nuit et le lendemain ensemble. Comme tous les week-ends, sa fille Alice se trouvait chez des amis et donc je savais qu’il y avait peu de chance qu’elle revienne et ruine mes plans.
Un peu après 20 heures, on frappa à la porte. Christine fut effrayée car nous n’avions jamais de visiteurs le vendredi soir. Depuis l’autre canapé, elle demanda :
– Qui peut frapper à cette heure-là?
– Probablement Martin. Vas ouvrir la porte!
J’ouvris une nouvelle bière pour mon ami. Alors que l’on frappait de nouveau à la porte ma belle-mère dit en me regardant :
– Martin?
Légèrement agacé, je répondis sèchement :
– Oui Martin mon ami. Il vient pour la nuit. Vas ouvrir la porte!
Elle se leva et n’essaya même pas de savoir pourquoi je ne lui avais pas demandé si mon ami pourrait rester à la maison. C’était la preuve qu’elle n’osait plus me questionner. Elle ignorait aussi que son mari ne rentrerait pas cette nuit.
Elle revint, Martin la suivant. Elle s’assit sur l’autre canapé le plus loin possible. Mon ami vint à côté de moi et je lui passai la bière. Nous avons parlé tous les deux pendant un certain temps, buvant nos bières. Christine regardait la télé en silence. Nos bières finis, je montrais ma chambre à Martin ainsi que la douche pour qu’il puisse se préparer pour notre sortie. Je l’attendis en bas en buvant une autre bière et lorsqu’il descendit tout pimpant, nous avons discuté encore pendant une heure, attendant notre taxi.
A 22h00, j’entendis notre chauffeur. Après un arrêt au toilette, nous étions prêts à partir. Alors que j’étais presque à la porte, je me tournai vers Christine, arrêtant Martin dans manken gaziantep escort mon sillage.
– Peux-tu venir nous chercher vers 2h00 derrière le pub O’Derrick, s’il te plaît?
Ma belle-mère fut perplexe pendant un instant. Clouée sur place elle hésitait à faire une scène. Mais une fois de plus, mon autorité eut raison d’elle. Elle répondit en se tournant vers son programme télé :
– Oui pas de problème.
– Mets quelque chose de mieux lorsque tu viendras nous récupérer. D’accord?
Je lui fis un clin d’œil afin qu’elle comprenne ce que je voulais.
– Oui bien sûr. Je ne serai pas sortie comme ça de toute façon. Dit-elle en regardant ses vêtements.
Alors que je lui laissai fermer la porte derrière nous, Martin me demanda :
– Que se passe-t-il? elle semblait gênée.
En montant dans le taxi, je lui dis en le tapant dans le dos :
– Ne t’inquiète pas! tout te deviendra clair un peu plus tard.
Comme nous ne nous étions pas vu depuis longtemps, nous nous sommes bien amusés en descendant des litres de bières et en bécotant quelques filles qui traînaient dans le pub. Par hasard, je regardai mon téléphone et m’aperçus qu’il était presque deux heures. Je dis à mon ami avec une voix un peu empâtée :
– Il faut qu’on y aille Martin, il est presque deux heures.
Nous sommes sortis et avons contourné le pub. Comme je lui avais demandé, Christine était garée juste à côté. J’ouvris la porte et sautai dans le siège du passager. Martin s’installa derrière, au milieu de la banquette.
– Bonsoir! Dit Christine alors qu’elle démarrait.
– Bonsoir… Hips….. désolé….. hips…. Je ne sais pas ….. hips… votre nom….. Répondit finalement Martin.
– C’est Christine. Dit-elle sans se tourner et en déboîtant pour nous ramener à la maison.
Elle avait changé de vêtements. Elle portait un chemisier qui était assez fin pour ne pas cacher les contours de son soutien-gorge blanc. Elle avait choisi une de ses jupes crayons et avait enfilé des bas. Ses cheveux étaient peignés et elle s’était légèrement maquillée. Elle m’avait bien obéi.
Notre trajet devait durer une demi-heure. Au bout de cinq minutes nous étions à la lisière de la ville, entrant dans la campagne. Je décidai qu’il était temps de commencer à faire les choses pour lesquelles j’avais éloigné Alain et invité Martin. Avec ma main, je défis la ceinture de sécurité de Christine. Elle s’enroula automatiquement. Puis j’avançai ma main vers son chemisier. En me regardant elle s’exclama, réveillant Martin de son demi-sommeil ivre :
– Qu’est-ce que vous faites?
– Intéresse-toi à la conduite, c’est tout ce que tu dois faire.
Je lui répondis tout en défaisant les quatre boutons de son chemisier. J’écartai les pans de la chemise, exposant son soutien-gorge avec des motifs de fleurs. Il cachait à peine ses énormes seins. Je regardai Martin qui s’était avancé et qui se penchait entre nous, prenant de l’intérêt à ce qu’il se passait. En tirant un peu, je sortis les seins de Christine afin de les laisser pendre, libres, sur le soutien-gorge, afin que Martin puisse les admirer.
– Oh putain! Quelle paire de nichons! s’exclama Martin
Je pris le mamelon droit entre mon pouce et l’index et je le roulai. Moins d’une minute plus tard, il était dur et dressé. Christine aimait ça.
– Fais-lui son mamelon gauche Martin!
Alors que la main de mon ami trouvait son sein gauche, ma belle-mère s’écria :
– Non s’il vous plaît! Pas ça!
Martin tira et tordit le mamelon jusqu’à ce qu’il se dresse comme son jumeau. Christine cria encore :
– Ahhhhhhhhhhh! s’il vous plaît……
Alors que Martin revenait au fond de sa banquette heureux, je dis à la femme :
– Ne fais pas ta mijaurée Christine! L’autre jour, tu n’as rien dit.
Je défis ma braguette et sortit mon sexe. Je dis à ma belle-mère de saisir ma bite mais elle me supplia encore et encore. Autoritaire, je lui ordonnai. Ses doigts minces furent bientôt autour de mon membre et elle amorça un va et vient de haut en bas tout en essayant de rester sur la route. Un kilomètre plus loin, ma bite fut complètement dur si bien que ses doigts ne pouvaient plus faire le tour de ma hampe.
– Oh Merde, je ne peux pas le croire!
Martin était étonné du traitement que me faisait subir Christine.
– J’aimerai que ma belle-mère soit aussi salope que la tienne.
Il le dit clairement afin de voir l’expression du visage de la femme.
– Si ça se trouve elle est aussi salope que celle-ci Martin. Elle a peut-être besoin d’être juste libéré comme je l’ai fait. Nous discutions comme si elle n’était pas là et qu’elle branle ma bite soit la chose la plus naturelle du monde.
Nous sommes arrivés et nous nous sommes garés juste devant la maison. Elle arrêta le moteur, enleva sa main de mon sexe et commença à prendre son soutien-gorge pour remettre ses seins.
– Ah non Christine, tu laisses tes seins comme ça et nous rentrons gaziantep manken escort à la maison.
Nous sommes tous sortis de la voiture. J’ai vu ma belle-mère regarder tout autour d’elle pour voir si des voisins étaient dehors ou à leur fenêtre. Mais tout était calme dans la rue. Martin marchait à côté de Christine, reluquant sa poitrine qui rebondissait alors qu’elle remontait l’allée du jardin. Je passai en dernier la porte de la maison, la refermai et me retournai vers mes deux compagnons, ma bite se balançant devant moi.
Martin était complètement abasourdi et sa question ne m’étonna pas :
– Qu’est-ce qu’il se passe maintenant?
– Et bien tu vois Martin, maintenant ma belle-mère va me sucer la bite.
Je fixai Christine en retirant mes chaussures, défaisant les boutons de mon jean afin qu’il tombe sur le plancher. Je le poussai avec mes pieds. J’étais maintenant nu de la taille au sol, ma bite attendant qu’elle mette ses lèvres autour. Mais elle recommença à supplier :
– S’il vous plaît! Je ne peux pas le faire alors que votre ami regarde.
Elle savait pourtant que ses plaintes étaient inutiles. Je m’approchai d’elle dans la salle à manger. Je plaçai mes deux mains sur ses épaules et appliquai une pression afin qu’elle s’agenouille devant moi. Ceci fait, je frotte mon gland sur son visage laissant un trait de liquide pré éjaculatoire sur sa joue et son nez.
– A l’avenir, Christine, quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans rechigner. Est-ce si difficile à comprendre?
Je giflai son visage avec ma bite. Elle me regarda avec ses grands yeux bruns et elle me dit :
– Oui je comprends.
– Maintenant que dirais-tu de montrer à mon ami Martin comment tu suces ma bite.
Je serrai mon sexe et l’inclinai vers le bas en direction de sa bouche.
– Ouvre grand salope!
Je voulais la dégrader devant mon ami, même si son humiliation ne pouvait être pire.
Ses lèvres rouges pâles s’ouvrirent autant qu’elle le put. Elle était habituée à la circonférence de mon membre qui remplissait totalement sa bouche. Je mis mon gland dans sa bouche humide.
« Argggghhh ». Je gémis alors qu’elle referma ses lèvres le peu qu’elle puisse et qu’elle me suça aussi profondément qu’elle pouvait. Puis elle sortit ma bite, se releva un peu sur ses genoux afin d’avoir sa tête à hauteur de mes hanches et recommença à me faire une superbe fellation.
Je regardai Martin et vit qu’une bosse était de plus en plus perceptible dans son jean. Il était de plus en plus mal à l’aise. Donc en bon ami, je luis dis :
– Sors ta bite et met toi à l’aise Martin.
Le regard de Christine remonta vers moi. Il m’indiquait qu’elle avait compris ce qui allait se passer cette nuit. Martin ne perdit pas de temps à enlever son pantalon et son caleçon, révélant une queue assez impressionnante presque aussi large que la mienne.
D’ailleurs celle-ci grossit encore alors que j’avais la vision des lèvres de ma belle-mère enveloppant le sexe de mon ami. Je décidai de la mettre à l’épreuve.
– Désolé Martin, je suis trop gourmand. Christine, va sucer la bite de mon ami.
Je la poussai vers Martin derrière elle. Elle se retourna et regarda le balancement de sa queue devant son visage. Elle la prit entre ses doigts et glissa sa main le long. En même temps qu’il poussait son membre entre les doigts de Christine, il haletait :
– Oh oui que c’est bon!
En riant je dis :
– Et ça va être de mieux en mieux, crois-moi!
J’enlevai ma chemise afin d’être totalement nu.
– Attends d’avoir ta bite dans sa bouche.
Puis, je poussai la tête de ma belle-mère en avant afin qu’elle engloutisse le sexe de mon camarade. J’enlevai son chemisier et son soutien-gorge pour les jeter sur le sol. Je massai ses gros seins et ses tétons afin qu’ils durcissent et se dressent à nouveau. Enfin je m’attaquai à la jupe, la faisant descendre sur ses hanches et le bas de ses jambes. Bientôt, elle rejoignit la pile des autres vêtements. Martin y rajouta sa chemise stoppant une paire de secondes le pilonnage de la gorge de la femme.
Christine avait mis une culotte sexy blanche accordée à son soutien-gorge. J’admirai son cul. Entre ses jambes une tâche d’humidité était clairement visible. Le tissu fragile était devenu presque transparent, et les lèvres gonflées de sa chatte étaient collées au tissu.
– Regarde comme elle mouille Martin.
Il retira son sexe et vint voir derrière. Je penchai ma belle-mère en avant, exposant son arrière-train. Martin regarda et glissa ses mains entre ses jambes. Un grand sourire éclaira son visage quand il sentit la culotte détrempée.
– Putain, elle est trempée.
Je redressai Christine. Martin revint à sa place et instantanément enfila sa boite au fond de sa gorge. Elle était devenue notre objet d’amusement sexuel. Derrière elle, je glissai mes doigts sous l’élastique de sa culotte afin de la tirer lentement loin de son sexe. Lorsqu’elle gaziantep manken escort bayan arriva aux genoux, je lui demandai d’écarter les jambes jusqu’à ce que la culotte soit étirée au maximum. Elle m’obéit docilement.
Plaçant une main sur son dos, j’utilisai les doigts de ma main droite pour sonder son antre intime. Lorsque deux doigts écartèrent les lèvres de son sexe, elle se souleva légèrement et laissa échapper un long gémissement.
– UMMMMMMMMPPPPHHHHHHHHH
– Je crois qu’elle est prête à être baiser Martin.
J’entrai deux doigts puis trois profondément dans la chatte de ma belle-mère.
– J’ai déjà trois doigts dans sa chatte. Dis-je fièrement.
Puis je pompai son orifice pendant environ une minute. Ses jambes commençaient à devenir faible et son sexe se contractait. Je savais qu’elle allait jouir donc je pompai de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle crie
– MON DIEU! ARGHHHHHHHHH! UMMMMM! OHHHHHHH! AHHHHHH!
Son corps se relâcha après cet orgasme intense. Sa tête pendait entre ses genoux et elle se tenait au membre de Martin. Celui-ci était surpris de cette situation, la femme serrant sa bite :
– Je n’ai jamais vu une femme avoir un orgasme aussi impressionnant.
A ce moment, je décidai de laisser mon ami baiser ma pute le premier. Pourquoi ne pas utiliser cette femme pour assouvir mes fantasmes. Je dis à Martin :
– Tu peux la baiser le premier. Moi je peux le faire quand je veux et tu es l’invité. Alors vas-y, saute-la!
J’étais volontairement grossier afin que Christine comprenne qu’elle n’était qu’un objet de plaisir pour moi. Martin ne me croyait pas :
– Tu es sur?
– Oui vas-y! baise là!
Je tirai le bras de ma belle-mère afin qu’elle se redresse et me fasse face.
– Martin n’est pas sûr que tu veuilles qu’il te baise alors je veux que tu lui fasses comprendre qu’il le peut et que tu es d’accord.
Je relâchai mon emprise. Elle se retourna et se dirigea vers mon ami. En tendant la main pour prendre son membre elle lui dit :
– Martin, je veux votre sexe à l’intérieur de moi.
Elle le regarda dans les yeux tout en caressant sa queue. Mais je savais qu’elle pouvait faire mieux que cela alors je dis :
– Christine! Tu peux faire mieux!
Ma voix autoritaire résonna dans la salle à manger. Je n’eus pas à attendre longtemps.
– Martin, il faut me croire quand je dis que je veux votre grosse bite tout au fond de mon vagin humide. J’en ai vraiment besoin.
Pendant toute la phrase, avec une voix séduisante, elle regarda mon ami dans les yeux. Elle tenait toujours sa queue dans sa main. Martin répondit :
– OK mais tournez-vous. Vous allez mettre votre chatte sur ma bite. Ne vous attendez pas à ce que je bouge. Je veux vous voir faire le travail.
– D’accord. Dit Christine.
Elle lâcha mon ami et se retourna, me regardant dans les yeux. Je voyais dans son regard qu’elle était morte de faim d’être baisée. Ma belle-mère devenait un super jouet sexuel dont je pouvais profiter.
Elle se pencha et essaya de se tenir le mieux qu’elle pouvait avec ses mains sur ses genoux, alors qu’elle tortillait son cul en reculant dans la direction où elle pensait qu’était la grosse verge de mon ami. Avec quelques manœuvres, en se soulevant un peu, elle trouva ce qu’elle désirait tant. En s’arrêtant elle dit :
– J’ai trouvé votre grosse bite.
Le gland de Martin touchait l’entrée humide de sa grotte intime. Je me déplaçai à coté de mon ami afin de voir la première bite que j’autorisai à pénétrer ma pute. Je dis :
– Qu’attends-tu Salope!
Elle recula et sa bouche ouverte laissa échapper un long gémissement alors que le membre de mon copain disparaissait petit à petit dans son sexe affamé. Elle s’arrêta lorsque ses fesses touchèrent le ventre de Martin. Ma belle-mère était complètement empalée sur la bite de mon ami. Je me plaçais devant elle afin de voir son regard.
– Regarde-moi Christine. Je veux voir ton visage alors que tu baises mon camarade.
Elle leva la tête et remonta ses mains sur ses cuisses afin de s’équilibrer. Nos regards se croisèrent. Je vis dans ses grands yeux bruns l’étincelle qu’elle avait eu la première fois que je l’avais pénétré. L’envie sur son visage était peut-être due à la nouvelle queue en elle. Je pensai que la faire baiser par d’autres hommes ne serait sûrement pas très difficile.
– Maintenant baise Martin comme il te l’a dit! Et fais le correctement ok?
– Oui! dit-elle
Christine se balança en avant jusqu’à ce que la bite de mon ami soit presque sortie de son trou, puis sans quitter mon regard, elle revint en arrière, enfonçant le membre tout au fond d’elle. Elle faillit renverser Martin.
– Vous devriez vous tenir. Lui dit-elle en regardant en arrière et en recommençant le mouvement.
Cette fois-ci, mon copain avait pris la précaution de placer ses mains dans son dos afin d’avancer ses hanches et tenir le choc. Lorsque les fesses de Christine claquèrent contre son ventre, il ne bougea pas. Elle hurla quand la bite s’enterra profondément dans son ventre.
Ma belle-mère pris un rythme rapide. Elle s’empalait sur le sexe comme une pute, attendant mon approbation.
– Dis-moi Christine ce que tu penses de la bite de mon ami. Je vois à ton visage que tu aimes mais je veux l’entendre.
Martin restait silencieux, la tête en arrière, les yeux fermés. Il savourait chaque instant.